Une trajectoire hors du commun : prêtre par tradition familiale, aumônier chez les SS par conviction religieuse.

Prêtre chez les SS
Louis Fierens
Une trajectoire hors du commun : prêtre par tradition familiale, aumônier chez les SS par conviction religieuse.

Il m’en a coûté de revêtir l’uniforme allemand. Je me suis dit qu’après tout, il ne fallait pas être trop difficile : le Christ a bien revêtu notre humanité pour être des nôtres.Lorsque Louis Fierens part pour le front de l’Est, son père, pourtant fervent patriote, lui dit : « Où il y a des femmes et des hommes qui souffrent et meurent, il faut un prêtre. » Ce professeur dans un collège catholique, en accompagnant en Russie les jeunes légionnaires wallons, ne fait que ce qu’il considère comme son devoir : être là où la présence d’un prêtre est nécessaire. À ses yeux, il fallait un aumônier catholique pour accompagner les volontaires wallons du front de l’Est, et cette obligation demeurera lorsque la légion sera intégrée dans la Waffen SS : ainsi voyait-il son engagement religieux. Ces carnets de guerre et la présentation qu’en a fait Jean-Luc Hoste nous montrent un aspect totalement inédit de la Seconde Guerre mondiale, du front de l’Est et de la Waffen SS. Une trajectoire hors du commun : prêtre par tradition familiale, aumônier chez les SS par conviction religieuse.
Petit format... Grandes Histoires à petit prix
Disponible en librairie (n'hésitez pas à demander à votre libraire de le commander) et sur Internet


Louis Fierens
Cet ouvrage est disponible dans votre librairie favorite (n’hésitez pas à demander à votre libraire de le commander si vous ne le trouvez pas en rayon)
Vous pouvez aussi acheter ce livre directement en suivant un de ces liens selon votre préférence :


Il m’en a coûté de revêtir l’uniforme allemand. Je me suis dit qu’après tout, il ne fallait pas être trop difficile : le Christ a bien revêtu notre humanité pour être des nôtres.Lorsque Louis Fierens part pour le front de l’Est, son père, pourtant fervent patriote, lui dit : « Où il y a des femmes et des hommes qui souffrent et meurent, il faut un prêtre. » Ce professeur dans un collège catholique, en accompagnant en Russie les jeunes légionnaires wallons, ne fait que ce qu’il considère comme son devoir : être là où la présence d’un prêtre est nécessaire. À ses yeux, il fallait un aumônier catholique pour accompagner les volontaires wallons du front de l’Est, et cette obligation demeurera lorsque la légion sera intégrée dans la Waffen SS : ainsi voyait-il son engagement religieux. Ces carnets de guerre et la présentation qu’en a fait Jean-Luc Hoste nous montrent un aspect totalement inédit de la Seconde Guerre mondiale, du front de l’Est et de la Waffen SS. Une trajectoire hors du commun : prêtre par tradition familiale, aumônier chez les SS par conviction religieuse.