Si la connaissance de l’histoire est un enjeu important, il importe de mieux comprendre un événement qui a profondément marqué l’histoire du monde.

Waterloo, l’histoire vraie de la bataille
Bernard Coppens
Si la connaissance de l’histoire est un enjeu important, il importe de mieux comprendre un événement qui a profondément marqué l’histoire du monde.

Que s’est-il passé le 18 juin 1815 à Waterloo ?
Depuis 1818, date de la parution du premier récit de la campagne de 1815 dicté à Sainte-Hélène par Napoléon, toutes les histoires de la bataille de Waterloo sont basées sur des faits inventés ou arrangés par l’Empereur. Son but était de masquer sa responsabilité
dans la défaite, de la faire peser sur ses sous-ordres, principalement les maréchaux Ney et Grouchy, et de garder intact son prestige de « Dieu de la guerre ».
Mais le Napoléon de 1815 n’était plus le Bonaparte d’Arcole, ni le Napoléon d’Austerlitz. Le pouvoir absolu, l’abus de la force et le culte de la personnalité ont des conséquences inéluctables. Napoléon, à Waterloo, était prématurément usé, et son armée, qui a fait preuve d’un courage et d’une rage de vaincre incomparables, semblait avoir oublié son métier.
Les historiens militaires des XIXe et XXe siècles ont suivi, de façon aveugle, la version imposée par celui qu’ils considéraient comme leur grand maître, et les historiens civils ont fait confiance aux militaires.
La comparaison entre les différents récits de Napoléon permet de repérer ses manipulations, de découvrir ce qu’il a voulu cacher, et de se rapprocher de la vérité des faits.
Si la connaissance de l’histoire est un enjeu important, il importe de mieux comprendre un événement qui a profondément marqué l’histoire du monde.
Petit format... Grandes Histoires à petit prix
Disponible en librairie (n'hésitez pas à demander à votre libraire de le commander) et sur Internet


Bernard Coppens
Chercheur et illustrateur d’histoire, le travail de Bernard Coppens l’amène à porter un autre regard sur les événements. Partant du constat que l’histoire n’est jamais neutre, il est convaincu de la nécessité de la débarrasser des déformations introduites non sans raisons aux XIXe et XXe siècles.
Cet ouvrage est disponible dans votre librairie favorite (n’hésitez pas à demander à votre libraire de le commander si vous ne le trouvez pas en rayon)
Vous pouvez aussi acheter ce livre directement en suivant un de ces liens selon votre préférence :


Que s’est-il passé le 18 juin 1815 à Waterloo ?
Depuis 1818, date de la parution du premier récit de la campagne de 1815 dicté à Sainte-Hélène par Napoléon, toutes les histoires de la bataille de Waterloo sont basées sur des faits inventés ou arrangés par l’Empereur. Son but était de masquer sa responsabilité
dans la défaite, de la faire peser sur ses sous-ordres, principalement les maréchaux Ney et Grouchy, et de garder intact son prestige de « Dieu de la guerre ».
Mais le Napoléon de 1815 n’était plus le Bonaparte d’Arcole, ni le Napoléon d’Austerlitz. Le pouvoir absolu, l’abus de la force et le culte de la personnalité ont des conséquences inéluctables. Napoléon, à Waterloo, était prématurément usé, et son armée, qui a fait preuve d’un courage et d’une rage de vaincre incomparables, semblait avoir oublié son métier.
Les historiens militaires des XIXe et XXe siècles ont suivi, de façon aveugle, la version imposée par celui qu’ils considéraient comme leur grand maître, et les historiens civils ont fait confiance aux militaires.
La comparaison entre les différents récits de Napoléon permet de repérer ses manipulations, de découvrir ce qu’il a voulu cacher, et de se rapprocher de la vérité des faits.
Si la connaissance de l’histoire est un enjeu important, il importe de mieux comprendre un événement qui a profondément marqué l’histoire du monde.
Bernard Coppens
Chercheur et illustrateur d’histoire, le travail de Bernard Coppens l’amène à porter un autre regard sur les événements. Partant du constat que l’histoire n’est jamais neutre, il est convaincu de la nécessité de la débarrasser des déformations introduites non sans raisons aux XIXe et XXe siècles.